À la rencontre des Kunas, gardiens de Guna Yala
À la rencontre des Kunas, gardiens de Guna Yala
À l’est du Panama, loin des circuits touristiques classiques, s’étend un archipel éclaté en plus de 300 îles coralliennes : les San Blas, territoire autonome de la communauté Kuna, ou Guna. Ici, on ne vient pas pour cocher une case sur une carte, mais pour écouter un peuple qui, depuis des siècles, résiste, s’adapte et transmet.
Une autonomie qui se vit au quotidien
Les Kunas ont obtenu un statut d’autonomie en 1953, et gèrent eux-mêmes la comarque de Guna Yala. Leur organisation sociale, profondément démocratique et communautaire, repose sur une gestion locale des ressources, de l’éducation et du tourisme.
Les Kunas ont obtenu un statut d’autonomie en 1953, et gèrent eux-mêmes la comarque de Guna Yala. Leur organisation sociale, profondément démocratique et communautaire, repose sur une gestion locale des ressources, de l’éducation et du tourisme.
Car oui, une partie de leur économie repose aujourd’hui sur l’accueil de voyageurs.

Voyager pour soutenir
Loin des clichés, ce tourisme responsable a un vrai impact positif. Il permet à de nombreuses familles de vivre sur place, de ne pas migrer vers les grandes villes, et de continuer à transmettre leur culture. En achetant directement auprès d’artisans locaux – notamment les fameuses molas, tissus brodés emblématiques – les voyageurs participent à la préservation d’un patrimoine vivant.
Chaque mola raconte une histoire, un mythe, une mémoire collective. Elle se vend sur les marchés, dans les villages, et parfois même directement par les femmes qui les ont cousues. Ce geste simple, humain, transforme un souvenir en soutien concret.
Loin des clichés, ce tourisme responsable a un vrai impact positif. Il permet à de nombreuses familles de vivre sur place, de ne pas migrer vers les grandes villes, et de continuer à transmettre leur culture. En achetant directement auprès d’artisans locaux – notamment les fameuses molas, tissus brodés emblématiques – les voyageurs participent à la préservation d’un patrimoine vivant.
Chaque mola raconte une histoire, un mythe, une mémoire collective. Elle se vend sur les marchés, dans les villages, et parfois même directement par les femmes qui les ont cousues. Ce geste simple, humain, transforme un souvenir en soutien concret.
Mais à leurs conditions. Pas d’hôtel de luxe ni de resort dénaturant l’environnement : les hébergements sont simples, tenus par des familles Kuna, souvent en bord de mer, parfois sur pilotis. On y dort dans des cabanes ouvertes à la brise, on mange du poisson fraîchement pêché, on partage un quotidien humble et fort.
Voyager avec exigence et conscience
Bien sûr, le Panama n’est pas à portée de train. Mais le véritable impact d’un voyage ne se mesure pas en kilomètres parcourus, mais en intentions posées. Ce que l’on choisit de faire une fois sur place peut tout changer.


La nature est précieuse, les cultures le sont tout autant. Elles ne demandent pas à être figées sous verre, mais à être regardées avec justesse, avec présence. Partir à la rencontre des Kunas, c’est bien plus qu’un déplacement : c’est un apprentissage de l’équilibre, de la sobriété, de la beauté silencieuse. C’est accepter de ralentir, de se déconnecter du contrôle pour mieux se reconnecter à l’essentiel.
Chez Link Mundo Studio, nous pensons qu’un voyage prend tout son sens lorsqu’il se vit au rythme des peuples. Nous vous guidons vers des expériences profondément humaines : dormir chez l’habitant, partager un repas de pêche, échanger autour d’un artisanat millénaire. Vous rêvez de découvrir la culture Guna autrement que derrière une carte postale ?
Nous vous aidons à la rencontrer, à la comprendre — avec respect, et en conscience.
Nous vous aidons à la rencontrer, à la comprendre — avec respect, et en conscience.